Does the Prime Minister admit that his finance minister's room to manoeuvre is extremely reduced on several economic issues of major importance to Quebec since he cannot, as he himself acknowledged, deal with the high speed train, the Magdalen Islands ferry, the multifunctional smart ship or, in large part, the conversion of defence industry to civilian uses?
Le premier ministre reconnaît-il en effet que son ministre des Finances a une marge de manoeuvre extrêmement réduite dans plusieurs dossiers économiques majeurs pour le Québec, ne pouvant pas, de son propre aveu, intervenir sur le TGV, sur le traversier des Îles-de-la-Madeleine, sur le bateau multifonctions Smart Ship ainsi que, pour une bonne part, sur la reconversion des industries militaires en industries civiles?