The dilemma is that it takes two or three years of training and on-the-job experience to really make these new hires fully productive, and too many of them, after just four or five years, are currently being recruited away from us, often into the United States, where they are offered significantly higher salaries, prospects of much higher income after tax, and a cafeteria list of benefits that assuage fears about real or perceived social, health, or personal safety differences between the two countries.
Le problème, c'est qu'il faut de deux à trois ans de formation et d'expérience pratique pour que ces nouvelles recrues soient vraiment productives et que trop d'entre elles, après quatre ou cinq ans seulement, sont recrutées par d'autres entreprises, souvent aux États-Unis où on leur offre des salaires sensiblement plus élevés, des perspectives de revenu après impôt beaucoup plus élevé et une liste innombrable d'avantages qui dissipent les craintes qu'elles pourraient avoir à propos des différences réelles ou perçues en matière sociale, de soins de santé ou de sécurité personnelle entre nos deux pays.