Because of my former experience in speaking and dealing with different service delivery organizations across the country, organizations that represent individuals who live off-reserve, for example, as well as the National Association of Friendship Centres, I would disagree that there is not a mass exodus, or at least a migration, from on- reserve to off-reserve.
Compte tenu de mon expérience de travail avec différentes organisations de prestation de service partout au pays, des organisations qui représentent des personnes vivant hors réserve par exemple, ainsi que l'Association nationale des centres d'amitié, je ne suis pas d'accord pour dire qu'il n'y a pas d'exode massif, ou du moins de migration, depuis les réserves.