We need this support to strengthen political momentum behind efforts to meet the two-degree objective, and we need the European Union to practice what it preaches in order to persuade other countries to do so too – among them the United States, which is the number one emitter in the world and which provides the argument behind which fast developing countries like China, India and other emerging economies in south-east Asia and South America can hide and say, ‘if the United States, which is number one emitter, is not moving, then why should we move?’.
Ce soutien est essentiel, si nous voulons renforcer la volonté politique derrière les efforts visant à atteindre l’objectif des deux degrés. En outre, il faut que
l’Union européenne mette en pratique ce qu’elle prône afin de persuader les autres pays de faire de même. Je pense notamment aux États-Unis, premiers responsables des émissions de gaz à effet de serre au monde, qui servent de prétexte aux pays connaissant un développement rapide, tels que la Chine et l’Inde, ainsi qu’à d’autres économies émergentes d’Asie du Sud-Est et d’Amérique latine, qui disent «si les États-Unis, premiers responsables de gaz à effet de serre, ne bougent pa
...[+++]s, pourquoi devrions-nous faire quelque chose?».