According to him, Canadian businesses that, in 1990, invested close to $92 billion in non-resident companies with which they have a non-arm's length relationship may have benefited a great deal-he does not give the proportion as there are no exhaustive studies on this-but it probably led to tax losses such as I mentioned earlier.
Selon lui, les entreprise canadiennes qui avaient investi, en 1990, pour près de 92 milliards de dollars dans des compagnies non résidantes avec lesquelles elles entretiennent des liens de dépendance ont peut-être bénéficié en grande partie-il ne donne pas la proportion puisque les études exhaustives à cet égard n'existent pas-, mais ont probablement occasionné des pertes fiscales telles celles que j'ai mentionnées tout à l'heure.