That is, during our hearings—I know some of my hon. friends on the finance committee will acknowledge this—when Dr. Jim Stanford came before the committee, he showed that if the government had merely frozen spending at the 1995 levels and waited for economic growth and lower interest rates, the finance minister would have beaten his own timetable and still have reduced Canada's deficit to the lowest level in the G-7.
Durant les audiences—et je sais que certains de mes collègues au Comité des finances le confirmeront—M. Jim Stanford a démontré au comité que si le gouvernement avait simplement bloqué les dépenses aux niveaux de 1995, et attendu que la reprise économique et la baisse des taux d'intérêt produisent leur effet, le ministre des Finances aurait devancé son propre échéancier et aurait quand même ramené le déficit du Canada au niveau le plus bas de tous ceux des pays du G7.