It is true that drug policies in France have taken a new approach since the mid 1990s[1], an approach prompted by a new awareness of public health problems related to the consumption of illegal drugs, as well as legal drugs like tobacco and alcohol; by the fact that drug abuse can simply not be eliminated; and by pressure from surrounding countries, since France could no longer deal with the issue alone[2].
D’un côté, force est de constater que depuis le milieu des années 1990, la politique des drogues en France a connu une inflexion[1]. Ce virage a été préparé par des prises de conscience des problèmes de santé publique liés à la prise de drogues illicites, mais aussi licites, comme le tabac et l’alcool, de l’impossibilité d’éradiquer les toxicomanies, ainsi que par une pression des pays environnants, la France ne pouvant plus faire cavalier seul[2].