However, this crisis should not make us backtrack, nor lessen our diplomatic firmness or the political and military commitment consistent with our obligations as allies, nor turn our backs on the collective economy nor allow the reappearance of protectionism, which would be fatal to the recovery of our economies.
Cependant, cette crise ne doit pas être une raison de faire marche arrière, de relâcher notre fermeté diplomatique ou l’engagement politique et militaire correspondant à nos obligations en tant qu’alliés, de tourner le dos à l’économie collective et de permettre le retour du protectionnisme, qui serait fatal à la reprise de nos économies.