3. Condemns the TV ‘confession’ of Sakineh Mohammadi Ashtiani, apparently orchestrated by Iranian authorities in an attempt to invent new charges of murdering her husband; notes that this kind of broadcasts calls into question the independence of the judiciary;
3. condamne la "confession" télévisée de Sakineh Mohammadi Ashtiani, apparemment orchestrée par les autorités iraniennes dans le but d'inventer de nouveaux motifs permettant de l'accuser du meurtre de son mari; fait observer que face à des émissions de ce genre, on peut s'interroger sur l'indépendance de la justice;