Those ports earning revenues of over $25 million a year for three consecutive years—and at this point that would involve Vancouver, Halifax, and Montreal—could, and I stress here “could”, if they chose to do so, implement a commercial borrowing regime that would be subject to a code governing borrowings.
Les ports dont les recettes annuelles dépassent 25 millions de dollars pendant trois années consécutives — ce qui ne représente, à l'heure actuelle, que les ports de Vancouver, d'Halifax et de Montréal — pourraient, et j'insiste sur le conditionnel, mettre en oeuvre un régime d'emprunt commercial qui serait assujetti à un code régissant l'emprunt.