To some of the other panellists, and I would guess to most of those in the roomful of academics and bureaucrats listening, the assumed premise was that evidence — facts, objective analysis, expertise — should matter a great deal more in policy than it does now.
Aux yeux de certains des autres membres du groupe, et probablement aussi de la plupart des universitaires et fonctionnaires présents dans une salle comble, la thèse de départ était que les données factuelles — faits, analyse objective, connaissances d'expert — devraient occuper, en matière de politique, une place beaucoup plus importante que celle qu'elles occupent actuellement.