How we can best do so is not necessarily a question of how much aid we give to poor countries, because we know that flows like investment, trade and remittances, which are private sector flows, are all much more significant in terms of both their volume and their impact on poverty alleviation, and even on the growth in these countries.
Et ce n'est pas nécessairement une question d'aide financière, car nous savons que les investissements, le commerce et les envois de fonds par le secteur privé sont beaucoup plus importants, de par leur volume, leur incidence sur la pauvreté, et même leur impact sur la croissance de ces pays.