For example, in France, 25% of the levies that are collected come off the top, stay in the country, are paid to individual composers, needy older musicians, social welfare funds, things like that, and are not subject to the grasp of foreign multinational record companies.
En France, par exemple, 25 p. 100 des droits perçus le sont en amont, demeurent au pays, sont versés aux compositeurs pris individuellement, à des musiciens plus âgés dans le besoin, à des fonds d'aide sociale et à d'autres choses semblables, et ne peuvent être happés par les multinationales de disque étrangères.