It was thought that these consultations would address questions such as how the national do not call list would operate, how much it would cost, whether companies would be allowed to contact existing customers regardless of whether they were on the do not call list, and whether certain organizations such as those with existing business relationships, or charities or political parties, would be exempt from the do not call list.
On croyait que ces consultations permettraient d’établir les modalités d’utilisation de la liste et les coûts connexes, et de déterminer si les entreprises pouvaient être autorisées à communiquer avec leurs clients figurant ou non sur la liste d’exclusion et si certains organismes, notamment ceux qui ont des relations d’affaires, les organismes de charité ou les partis politiques pouvaient jouir d’une exemption relative à la liste d’exclusion.