If one visits Korea today, one of the first things Koreans will ask you as you discuss issues is, ``Are you going to be there again?'' Not so much these days, there is not the worry about the North, but when there was, certainly that was a real question, and there was the expectation that the answer would be, ``Yes,'' something that I think most Canadians, whether in government or not, have never even contemplated since the 1950s.
Si quelqu'un va en Corée aujourd'hui, l'une des premières choses que les Coréens vont vous demander, quand vous parlez des problèmes, c'est : « Est-ce que vous reviendrez? » Pas tellement ces jours-ci, il n'y pas cette inquiétude latente au sujet du Nord, mais lorsqu'il y en avait, c'était certainement une question réelle, la réponse attendue était « oui », et c'est une réponse qu'il me semble que la plupart des Canadiens, qu'ils soient membres du gouvernement ou non, n'ont pas même envisagée depuis les années 1950,