Consequently, aboriginal women were more likely than their non-aboriginal counterparts to have suffered physical injury, received medical attention, taken time off daily activities as a consequence of the assaults and experienced 10 or more separate episodes of violence from the same perpetrator, and were more likely to fear their lives were in danger.
Par conséquent, les femmes autochtones étaient proportionnellement plus nombreuses que leurs homologues non autochtones à avoir subi des blessures physiques, à avoir reçu des soins médicaux, à avoir pris congé de leurs activités quotidiennes en raison des agressions, à avoir vécu au moins dix épisodes distincts de violence de la part du même agresseur, et à avoir craint pour leur vie.