Once again, of course, it is a question of having the willingness to discuss solutions that will suit all parties, rather than the abrasive, belligerent, ‘take it or leave it’ approach with which we, in countries such as the Czech Republic, are familiar from our own accession negotiations.
Une fois de plus, bien entendu, cela dépendra de notre volonté d’élaborer des solutions qui conviendront à toutes les parties, plutôt que d’adopter l’approche d’un «à prendre ou à laisser» acerbe et belliqueux auquel des pays comme la République tchèque ont dû s’habituer lors de leurs propres négociations d’adhésion.