If you put the electronic surveillance sections up against what constitutes a terrorist group and terrorist activities, I'm wondering whether, as Privacy Commissioner, you have some basis for concern beyond what would be of concern in a normal criminal investigation.
Si l'on met les articles sur la surveillance électronique en regard des définitions d'un groupe terroriste ou d'activités terroristes, je me demande si, en tant que commissaire à la protection de la vie privée, vous êtes fondé de vous inquiéter au-delà de ce qui vous inquiéterait dans le cadre d'une enquête criminelle normale.