Nonetheless, putting together his line of questioning and your response to Senator Runciman just now, and in light of the fact that our prisons are becoming, each of them, more densely populated, and we know that nearly 40 per cent of those admitted have some kind of mental problem and that significant numbers of them are obsessive compulsive paranoid, whatever, to what extent do you think it likely that the availability of a grievance procedure offers, if you will, an escape valve, a steam valve, a vent for some prisoners to let go some of the stress with which they live?
J'aimerais néanmoins savoir si cette série de questions et la réponse que vous venez de donner au sénateur Runciman et compte tenu du fait que nos prisons sont de plus en plus surpeuplées alors que nous savons que près de 40 p. 100 des détenus admis souffrent de problèmes de santé mentale et qu'un bon nombre d'entre eux souffrent de pa
ranoïa obsessive et compulsive, si donc tout cela vous amène à penser que l'existence d'un mécanisme de règlement des griefs offre probablement, si je peux m'exprimer ainsi, une soupape de sécurité, une porte de sortie, un moyen de s'exprimer à certains prisonniers qui vont de cette façon évacuer une partie
...[+++] du stress qu'ils vivent?