These unacceptable proposals form part of the unprecedented offensive against labour known as ‘flexicurity’, which has been enshrined in Community Green Papers or communications and national White Papers, the aim of which is to generalise job insecurity, exacerbate exploitation and reduce workers’ rights in order to increase the profits of the large economic and financial groups.
Ces propositions inacceptables font partie d’une offensive sans précédent contre le travail, appelée «flexsécurité», inscrite dans les livres verts ou communications de la Communauté et les livres blancs nationaux, dont le but est de généraliser la précarité du travail, d’exacerber l’exploitation et de réduire les droits des travailleurs afin d’accroître les profits des grands groupes économiques et financiers.