Perhaps a handful of officials at the Department of the Solicitor General, sometimes the Solicitor General himself. But it has become obvious since the beginning of the 35th Parliament, since I personally became involved in the work of the national security sub-committee, that the Canadian Security Intelligence Service does not have any watchdog, inasmuch as the legislation provides for one, in the form of a review committee, which reviews whatever it is given to review.
Probablement quelques personnes au ministère du Solliciteur général, possiblement parfois le solliciteur général lui-même, mais on se rend compte, depuis le début de la 35e législature, depuis que je suis personnellement impliqué au sein du travail du Sous-comité sur la sécurité nationale, que le Service canadien du renseignement de sécurité ne possède pas de chien de garde, si tant est que la loi prévoit qu'il en ait un, un comité de surveillance, lequel surveille bien ce qu'on veut lui montrer.