To have waited longer would have been to risk polarising the positions of the CAP's supporters and opponents still further and reducing the debate to purely financial considerations, with obvious consequences for French farming.
Attendre plus longtemps aurait été courir le risque de radicaliser encore un peu plus les positions entre les pro- et les anti-PAC, et de réduire le débat à ses seuls aspects budgétaires, avec les conséquences que l'on peut imaginer pour l'agriculture hexagonale.