Without putting one penny directly on the debt, the debt-to-GDP ratio would fall from 74% to 59%. Ottawa could then simultaneously increase program spending by up to 4.5% a year and offer Canadians a substantial, multi-billion-dollar tax cut, or Ottawa could throw its energies into debt reduction, defer the tax cut, and watch the debt ratio fall one measly additional percentage point to 58%.
Donc, sans consacrer un cent directement au remboursement de la dette, le ratio de la dette au PIB chuterait de 74 p. 100 à 59 p. 100. Ottawa pourrait donc simultanément augmenter ses dépenses pour les programmes d'environ 4,5 p. 100 par année et offrir aux Canadiens une réduction d'impôt importante de plusieurs milliards de dollars ou encore Ottawa pourrait consacrer ses énergies à la réduction de la dette, reporter les réductions d'impôt et surveiller le ratio de la dette diminué d'un pourcentage de points additionnel jusqu'à 58 p. 100.