Thus, policy makers in the United States or Japan are much better informed about the trends and strategies of United States transnational corporations, while their European counterparts are left to make their decisions as regards, for instance, outsourcing and relocations trends, on a de facto non-existent database.
Dans ces conditions, les décideurs de ces pays connaissent bien mieux les orientations et les stratégies des entreprises transnationales états-uniennes que leurs homologues européens qui sont contraints de se prononcer, par exemple, sur des tendances à externaliser et à délocaliser en s'appuyant sur une base de données qui en fait n'existe pas.