Joseph Di Luca, vice-president of the Criminal Lawyers’ Association, has been less positive about Bill C-42, noting that conditional sentences “were a recognition by Parliament that the collateral consequences of imprisonment – in taxpayer dollars, increased exposure of first offenders to career criminals, and the low rehabilitative success of the penitentiaries – were too high” (40)
Joseph Di Luca, vice-président de la Criminal Lawyers’ Association, s’est montré moins favorable au projet de loi C-42, faisant remarquer que les peines d’emprisonnement avec sursis avaient été instituées parce que « le Parlement s’était rendu compte des conséquences collatérales trop coûteuses de l’emprisonnement, qu’il s’agisse du fait de dépenser des dollars des contribuables, du contact de nouveaux délinquants avec des criminels de carrière ou du faible taux de réadaptation des prisonniers des établissements correctionnels » (40).