Although in principle we are in favour of starting negotiations with Turkey – which, I stress, is a very different thing from accession – we must not forget the need for its acknowledgement of the Armenian genocide and for a lasting solution to the Cyprus question. To somebody with any common sense, it is incomprehensible that a country that aspires to join the Union should be militarily occupying part of another country that is already a member.
Si, sur le principe, nous sommes favorables à l’ouverture des négociations d’adhésion avec la Turquie - ce qui, je tiens à le souligner, n’est pas du tout synonyme d’adhésion -, nous ne devons pas oublier l’obligation incombant à ce pays de reconnaître le génocide arménien et de trouver une solution durable à la question chypriote. Toute personne dotée d’un minimum de bon sens ne saurait comprendre qu’un pays souhaitant rejoindre l’UE occupe militairement une partie d’un autre pays qui est déjà membre de l’Union.