The drug addict was either a criminal or a sick person. On the one hand, there is a repressive aspec
t, characterized by penalizing drug use including use in private, unlike the previous legislation, which dated back to 1916 (Retaillaud-Bajac, 1997) -, prosecution differing from the usual approach particularly in connection with the extension
of the duration of allowed policy custody to 92 hours severe sanctions for traffickers, reinforc
ed by the new penal code, introduc ...[+++]ed in 1994, which made drug trafficking by organized crime punishable by a life sentence[6].
Il y a, d’un côté, un volet répressif caractérisé par la pénalisation de l’usage - y compris privé, ce que la précédente loi de 1916 ne prenait pas en compte (Retaillaud-Bajac, 1997) -, une procédure de poursuite dérogatoire au droit commun - notamment en ce qui concerne la garde à vue, étendue à 92 heures -, des sanctions sévères pour les trafiquants, renforcées par l’entrée en vigueur du nouveau code pénal, en 1994, qualifiant le trafic en bande organisée de crime puni de la réclusion à perpétuité[6].