Three quarters of registered victims were trafficked for sexual exploitation (an increase from 70 per cent in 2008 to 76 per cent in 2010) and the rest for labour exploitation (a decrease from 24 per cent in 2008 to 14 per cent in 2010), forced begging (3 per cent) and domestic servitude (1 per cent).
Dans les trois quarts des cas répertoriés, la traite des victimes avait pour but l'exploitation sexuelle (cette proportion a augmenté à 76 % en 2010 contre 70 % en 2008), et dans les autres cas, l'exploitation de leur travail (en recul à 14 % en 2010 contre 24 % en 2008), la mendicité forcée (3 %) ou l'esclavage domestique (1 %).