What I cannot accept is the insistence on arguing, as the Commission did again today, that the 2006 revision of the Programme of Options Specifically Relating to Remoteness and Insularity (POSEI) provided for this situation and that it has, therefore, already compensated producers for what was at stake here, when we know that what was considered in 2006 was a tariff of EUR 176 per tonne, and what we are now looking at is a tariff of EUR 148, EUR 114 or even EUR 75 per tonne.
Ce que je ne peux pas accepter, c’est cet entêtement à affirmer, comme la Commission l’a fait une fois de plus aujourd’hui, que la révision de 2006 du programme d’options spécifiques à l’éloignement et à l’insularité (POSEI) prévoyait cette situation et qu’elle a donc déjà indemnisé les producteurs pour ce qui se passe aujourd’hui, alors que nous savons tous que la réforme de 2006 prévoyait un tarif de 176 euros par tonne, tandis que nous nous préparons aujourd’hui à des tarifs de 148, 114, voire 75 euros par tonne.