That just shows the point, and it is a point which Mr Zappalà was making, that the relationship of professionals to other members of the community is a curious one: someone who goes to a professional for advice gives herself or himself over to the power of that person because the professional necessarily knows more about the client or patient's problem than the client or patient does or can. You would not have professions otherwise.
Cela montre juste, et c’est un point que M. Zappalà faisait remarquer, que le rapport entre les professionnels et d’autres membres de la communauté est curieux: celui qui se rend chez un professionnel pour être conseillé s’en remet au pouvoir de cette personne, car le professionnel en sait nécessairement plus sur le problème du client ou du patient que le client ou le patient lui-même. Sinon, les professions n’existeraient pas.