However, I have never underestimated the practical and political difficulties created over the 30 post-invasion years in which Turkey has moved 120 000 mainland settlers into the north, when they do not share the common historical heritage of the island and generally do not speak English or Greek, previously the bicommunal languages.
Je n’ai cependant jamais sous-estimé les difficultés politiques et pratiques découlant des 30 années qui ont suivi l’invasion, pendant lesquelles la Turquie a installé 120 000 colons du continent dans le nord de l’île, alors qu’ils ne partageaient pas l’héritage historique commun de l’île et ne parlaient généralement ni le grec, ni l’anglais, qui étaient auparavant les deux langues bicommunautaires.