I would say first off that in terms of the implications for Canadians and for monetary policy, we take this into account; we take the spread between our rates and the rates that Canadians are paying, whether it's on prime borrowings or on mortgage rates not just what's posted, which is what is reported, but what they're actually paying.
Je dois dire d'abord que, pour ce qui est des répercussions pour les Canadiens et la politique monétaire, nous prenons cela en compte; nous prenons en compte l'écart entre nos taux et les taux que payent les Canadiens, que ce soit sur leurs emprunts au taux préférentiel ou sur leurs emprunts hypothécaires — non pas seulement les taux affichés, qui sont les taux déclarés, mais les taux réels.