Can the Minister of Labour tell us how Quebecers can trust the Prime Minister when he proposes administrative agreements, since the only time he proposed such an agreement-it was, may I remind you, in the area of manpower-, the minister, in solidarity with her former boss, Daniel Johnson, rejected it, calling it a third-rate agreement?
La ministre du Travail peut-elle nous dire comment les Québécois peuvent faire confiance au premier ministre quand il nous propose des ententes administratives, alors que la seule fois où il en a proposé une, dans le domaine de la main-d'oeuvre rappelons-le, elle était solidaire de son ancien chef, Daniel Johnson, pour la rejeter en la qualifiant d'entente à rabais?