There is not enough knowledge of the realities of our dying languages, our dying people, the despair of our youth, of the marginality, of substance abuse and of the devoted efforts by the anonymous thousands, native and non-native alike, working day in and day out in real life situations to avoid the worst.
Il n'y a pas assez de connaissances sur les réalités de nos langues qui se meurent, de nos gens qui meurent, sur le désespoir de nos jeunes, sur la marginalité, sur la toxicomanie et sur le travail humble et acharné des milliers d'anonymes, autochtones ou non-autochtones, qui oeuvrent jour après jour sur le terrain de la vraie vie afin d'éviter le pire.