The auditor general stated: “The problems of the CLRB are due to poor management practice, inadequate paper oriented communications, poor leadership from senior members of the board and a general lack of professionability and accountability which have created a climate which is at times venomous, harassing, stressful and which undoubtedly is eroding morale, the quality and efficiency of the board's work and the board's internal and external credibility and integrity”.
Le vérificateur général a dit: «Les problèmes du CCRT sont attribuables à de mauvaises pratiques de gestion, à des communications insuffisantes et trop rigides, au leadership mou des membres supérieurs du Conseil et à un manque général de professionnalisme et de transparence. Cela a permis l'instauration d'un climat parfois empoisonné, épuisant, stressant et qui contribue indubitablement à l'érosion du moral, de la qualité et de l'efficience des travaux du Conseil, et qui mine la crédibilité et l'intégrité du Conseil, tant à l'interne qu'à l'externe».