Since then, the United States has never stopped harassing Canadian softwood lumber producers by claiming, most of the time erroneously, that Canadian businesses were subsidized, and consequently they needed to impose countervailing duties, antidumping duties.
Or, les États-Unis, depuis, n'ont jamais cessé de harceler les producteurs canadiens de bois d'oeuvre en prétendant, la plupart du temps à tort, que les entreprises canadiennes étaient subventionnées et que, conséquemment, il leur fallait imposer des droits compensatoires, des droits antidumping.