D'abord, il faut éviter la distorsion des schémas de culture; il ne faut pas récompenser la mauvaise gestion; il ne faut pas qu'il y ait de dist
orsion des coûts de production, y compris la valeur des terres, les loyers, le coût des intran
ts; il faut que le programme soit à la hauteur des moyens des producteurs et des contribuables; il faut qu'il soit facile à administrer et à comprendre, compatible avec les règles de l'OMC et de l'ALÉNA, et adaptable à tous les secteurs de l'agriculture—céréales, bétail, porc; il ne doit pas comp
...[+++]orter de composante morale, comme on la dit plus tôt aujourd'hui; et enfin, il faut qu'il soit ouvert à tous et qu'il offre une voie de sortie.