Second, and as a consequence of this, it recognises the ‘political, democratic and economic progress achieved by the present Georgian President and Government’, even though the content of the resolution says the exact opposite and fails to mention the wave of repression to which the country's progressive circles have long been subjected.
Deuxièmement, et en corollaire de ce qui précède, elle reconnaît «les progrès politiques, démocratiques et économiques obtenus par le président et le gouvernement géorgiens actuels», alors même que le contenu de la résolution dit exactement le contraire, tout en passant sous silence la vague de répression exercée depuis longtemps sur les forces progressistes de ce pays.