Since 1994, if one took all the budgets, all the Minister of Finance's figures, one would see that every time he opened his mouth, speaking first of the deficit and only after of surpluses, within a few months, his forecasts were shown to be close to 100% off, sometimes even 150%.
Depuis 1994, on aurait pu prendre tous les budgets, tous les chiffres du ministre des Finances et s'apercevoir que toutes les fois qu'il a ouvert la bouche pour parler des déficits en premier et des surplus par la suite, ses erreurs de prévisions, en quelques mois, avoisinaient les 100 p. 100, même les 150 p. 100.