In particular, the Commission has doubts that Royal Mail’s role as the sole universal service provider and the liabilities resulting from its public sector monopoly legacy would justify mitigating the guidelines and notably the conditions ensuring that competition distortions are limited and that the cost of restructuring is shared by shareholders.
Pour être plus précis, la Commission doute que le rôle de Royal Mail en tant qu’unique fournisseur du service universel et le passif légué par son ancien statut de monopole public justifient d'atténuer des lignes directrices et, notamment, des conditions visant à limiter les distorsions de concurrence et à assurer la participation des actionnaires aux coûts de restructuration.