We felt that Canada's foreign policy, as it concerns democracy and human rights, should be more consistent and absolutely honest and open, so as to maintain the respect and prestige Canada had acquired, which a sovereign Quebec would certainly have been able to perpetuate.
Il était de notre avis que la politique étrangère du Canada, en matière de démocratie et de droits de la personne, devait faire preuve d'une plus grande cohérence et d'une franchise sans faille, de façon à préserver le capital de respect et de prestige acquis par le Canada et que l'État québécois souverain aurait certainement pu perpétuer.