This position is in fact based on the interpretation of a former chief justice of the Supreme Court of Canada, Mr. Dickson, who said that the federal government could, if it expressed the political desire to do so, apply the law with full flexibility so that Quebecers could retain the Young Offenders Act, with the results they have obtained in rehabilitation and re-integration into society that are the envy of all of Canada.
Cette position s'appuie même sur l'interprétation d'un ex-juge en chef de la Cour suprême du Canada, M. Dickson, qui disait qu'effectivement, il serait possible pour le gouvernement fédéral, s'il en exprimait le souhait politique, d'appliquer la loi avec toute la flexibilité nécessaire, de telle sorte que les Québécois puissent continuer d'avoir la Loi sur les jeunes contrevenants avec les résultats qu'ils ont obtenus en réinsertion sociale et en réhabilitation qui font l'envie de tout le reste du Canada.