This question becomes all the more relevant when we learn from the architect of the revised Civil Code, Paul-André Crépeault, that section 35 appeared nowhere in the reform he proposed in 1978, that he does not know where the section came from, and that he finds devoid of meaning a section that claims to bequeath to heirs extrapatrimonial property that can only belong to a living person: that is to say respect for privacy.
Question d'autant plus pertinente que l'architecte de la révision du Code civil, Me Paul-André Crépeault, affirme que l'article 35 ne figurait nullement dans le projet de réforme qu'il a déposé en 1978, qu'il ignore la provenance de cet article et qu'il juge dénuée de sens une clause qui prétend léguer à des héritiers un bien extrapatrimonial, qui ne peut appartenir qu'à une personne vivante, à savoir le respect de la vie privée.