Few wish to break off relations with Russia, though sentiments range from Armenia's wish to have Russian military bases as protection against Turkey, through Azerbaijan's more relaxed stance, reinforced by the absence of Russian military bases, which fluctuates between thoughts of joining NATO and receiving a state visit from President Putin of Russia, to Georgia's conviction that Russian superpower manoeuvring is behind all the attempts to form breakaway states.
Rares sont ceux qui veulent couper les ponts avec la Russie, mais les sentiments sont loin d’être identiques: les Arméniens souhaitent disposer de bases militaires russes pour se protéger contre la Turquie, la Géorgie est convaincue que toutes les tentatives de sécession ne sont que le fruit de manipulations de la grande puissance qu’est la Russie, alors qu’en Azerbaïdjan, dont la position est plus détendue en raison de l’absence de bases militaires russes, on réfléchit parfois à une adhésion à l’OTAN tout en recevant le président russe Poutine en visite d’État.