In particular, there is a fear that, because of urine testing, inmates’ drug use, rather than diminish, may shift from relatively harmless drugs that are detectable in urine for up to one month, to potentially more harmful drugs that have much shorter windows of detection.
On craint en particulier que les tests d’urine, loin de réduire la consommation, n’entraînent les détenus à substituer à des drogues relativement inoffensives, mais décelables dans l’urine pendant une période allant jusqu’à un mois, des drogues potentiellement plus dangereuses mais qui ont une plage de détection plus courte.