Thus, the failure to ratify the Meech Lake Accord or the refusal to transfer full jurisdiction to Quebec over marriage and divorce, as was the case in 1981, for example, do not mean that ratification of a proposal for a constitutional amendment leading to sovereignty can be similarly refused, if the proposal is clearly supported by the people in a referendum.
Donc, la non-ratification de l'Accord du lac Meech ou le refus de transférer au Québec la pleine compétence sur le mariage ou le divorce, comme ce fut le cas en 1981, par exemple, ne signifie pas qu'on puisse, de la même manière, refuser une proposition de modification de l'ordre constitutionnel allant dans le sens de la souveraineté si elle est clairement appuyée par le peuple en référendum.