When we get down to reality, not hypothetical disaster scenarios, we see that the voice of reason prevails over political considerations (1530) In a document written by The Council for Canadian Unity, largely funded by the taxes paid by all Canadians, and in particular by Quebecers who are forced to pay for this kick in the behind, the council strongly suggests that the word ``separation'' be used, although the explanation it gives of the term in the glossary simply refers the reader to the definition of sovereignty.
Lorsqu'on parle de la réalité, pas de situation de désastre hypothétique,
on voit bien que la raison l'emporte sur les considérations politiques (1530) Selon un document préparé par le Conseil pour l'unité canadienne, financé grassement à même les impôts et les taxes de tous les Canadiens et particulièrement par les Québécois et les Québéc
oises pour se faire botter le derrière, le Conseil pour l'unité canadienne suggère fortement d'utiliser le mot «séparation» même si, dans le glossaire, pour l'expliquer, on renvoie à la définition de
...[+++] souveraineté.