All this casts serious doubt over the willingness of the authorities of Equatorial Guinea to defend the rule of law and comply with the human rights commitments recently made by the country at the 58th session of the United Nations Commission on Human Rights and in the context of international instruments such as the Convention against Torture and Other Cruel, Inhuman or Degrading Treatment or Punishment, to which it recently acceded.
Tout cela met sérieusement en question la volonté des autorités de la Guinée Equatoriale de défendre l'Etat de Droit et de respecter les engagements en matière des Droits de l'Homme récemment pris par ce pays lors de la LVIII Séance de la Commission des Droits de l'Homme des Nations Unies, et dans le cadre d'instruments internationaux, tels que la Convention contre la Torture et les Peines et Traitements Inhumains ou Dégradants, à laquelle elle a récemment adhéré.