To personalize this a bit more, it's been very distressing to us as parents with children conceived through sperm donations to learn that records of the other half of our children's precious heritage have either not been properly kept or recorded in the first place, lost, or just discarded after the normal six-year medical requirements of record maintenance, or, in one case, they became the property of the inseminating physician's wife after he died.
Pour personnaliser un peu plus le débat, je tiens à vous faire savoir à quel point c'est bouleversant pour nous qui sommes parents d'enfants issus d'un don de sperme d'apprendre que les documents touchant l'autre moitié du patrimoine génétique de notre enfant n'ont pas été conservés, ou que les renseignements pertinents n'ont jamais été enregistrés, que les dossiers ont été perdus ou jetés à la fin du délai de six ans normalement prévu pour la tenue de dossiers médicaux, ou encore, dans un cas, qu'ils étaient devenus la propriété de la femme du médecin qui a pratiqué l'insémination après la mort de ce dernier.