Today, however, the new approach to the sphere of public sector activity, the ceilings on the Member States’ budgets and policies for the privatisation of services, make it essential also to have recourse to private-sector capital to finance the construction of infrastructures, even if it means sacrificing a plan for completion.
Aujourd’hui, la nouvelle orientation concernant la sphère de l’activité publique, les restrictions budgétaires des États membres et les politiques de privatisation des services imposent toutefois de recourir également aux capitaux privés pour financer la mise en place des infrastructures, même si cela implique l’obligation de sacrifier un projet de réalisation.